Résumé
Si l’on accepte l’idée selon laquelle les activités professionnelles ne sont pas les seules à permettre à un individu de développer des compétences, connaissances, savoir-faire… le capital sportif – et donc le capital golfique – peut-être considéré comme une forme particulière de capital humain. Dès lors, la question de sa valorisation se pose. Dans cette perspective, deux interrogations peuvent être formulées. Détenir un « capital golfique » favorise-t-il l’insertion professionnelle ? Est-il source de bienfaits physiques et mentaux ? La modeste investigation empirique menée dans la dernière partie de ce travail permet d’apporter quelques réponses à ces questions.
Abstract
If one agrees with the idea that engaging in a profession is not the only activity which enables an individual to develop skills, knowledge and know-how, then sports capital — and thus golf capital — can be considered a specific form of human capital. Consequently, the issue of personal valorization is raised. In this context, one can ask two questions : Does possessing “golf capital” promote employability ? Does possessing “golf capital” provide physical and mental benefits ? The empirical investigation carried out in the latter part of this work can offer answers to these questions.