Résumé
De par la situation économique durant la période 2009-2013, les sociétés françaises du SBF 120 sont contraintes pour la plupart de déprécier leur écart d’acquisition. Cependant, les sociétés, qui constatent régulièrement des pertes de valeur, adoptent un reporting de qualité à l’inverse des sociétés qui enregistrent brutalement une forte dépréciation du goodwill sur un ou deux exercices.
Abstract
Given the uncertain and difficult economic environment over the 2009-2013 period, the french companies of SBF 120 had to record, for the all, significant impairments of their goodwill. Nevertheless, the companies which depreciate regularly communicate better about their goodwill than the companies which account impairment of their goodwill suddenly in only one year or two.